Felipe López de Miguel, étudiant en 3e année de Kinésithérapie au CEU d’Elche, concilie sa formation avec l’exigence et la responsabilité des bourses CEU Merit

Depuis le début de ses études en Kinésithérapie, Felipe López consacre ses efforts non seulement à une formation de haut niveau, mais également à aider d’autres étudiants. La raison de son engagement est sa condition de titulaire d’une bourse CEU Merit. Ces aides qui s’adressent aux étudiants au dossier supérieur à la moyenne et au profil solidaire et international impliquent la gratuité totale des études ou une réduction de 65 % de leur coût. C’est pourquoi le mérite d’être boursier, selon Felipe, réside dans l’engagement et la gestion de la responsabilité. Felipe est certainement aidé par ses prédispositions, car son objectif en tant que futur kinésithérapeute est d’aider les personnes en travaillant dans différents secteurs.

Que pensez-vous de cette initiative appliquée par l’Université ? 

Je trouve que c’est une idée très intéressante pour sélectionner des élèves qui peuvent être bons et faire remonter le niveau dans chaque formation. D’autre part, l’aide que reçoit l’élève est fondamentale d’un point de vue économique, mais pour la conserver, l’élève fait face à une forte pression et doit apprendre à assumer cette responsabilité.

Les élèves collaborent, toujours en dehors de leur temps d’étude,  à des tâches d’organisation et de gestion de la vie universitaire. Ils acquièrent grâce à cela un apprentissage dans des compétences transversales qui seront essentielles dans leur avenir professionnel. Quelles ont été les vôtres jusqu’à maintenant ?

Tout au long de ces trois années, je me suis engagé dans de nombreuses activités telles que des conférences avec les vice-doyens et les centres d’enseignement secondaire, lors desquelles je donnais mon point de vue sur les options qu’offrent une université privée, et qui ne peuvent pas exister dans une université publique. De plus, j’ai aidé les élèves de première année, surtout à comprendre les damiers et les horaires. J’ai essayé de faire en sorte qu’ils se sentent à l’aise dès le premier jour, et qu’ils se connaissent les uns les autres, j’étais un intermédiaire. J’ai également aidé à l’organisation des activités qui en avaient besoin, et surtout, lors des premiers jours où tout le monde est perdu, nous essayons de les guider.

La responsabilité d’être boursier

Le mérite d’être boursier est toujours mis en avant. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?

Cette BOURSE CEU MERIT m’a surtout permis d’apprendre à supporter une forte pression. Passer tes examens en ayant la moyenne dans toutes les matières, sans repêchage, c’est compliqué. D’autant plus que dans mon cas, je dois obtenir une moyenne de 7 ; c’est dur et on nous mène à bout. Dur, mais pas impossible. 

Croyez-vous que les élèves connaissent et savent apprécier ce que représente le CEU Merit ?

Les élèves en général connaissent les bourses et savent qu’il en existe plusieurs au CEU, pour chaque profil d’étudiant.

La fonction de Felipe en tant que boursier est, entre autres, d’aider les nouveaux élèves à s’intégrer à l’université

Comment gérez-vous votre temps, et à quelles difficultés avez-vous dû faire face ?

La première année de kinésithérapie était facile à gérer, entre les loisirs et les études. Mais en deuxième année, ce n’est plus pareil : j’avais à peine le temps d’étudier parce que je ne sortais pas de l’université, et j’avais beaucoup de mal à atteindre mes objectifs.

Que souhaiteriez-vous améliorer dans ce projet ?

Pas grand-chose. Je sais qu’ils ne donnent qu’une seule BOURSE MERIT par année et peut-être qu’ils pourraient en donner un peu plus, mais d’autre part, il existe de nombreuses autres bourses au sein du CEU.

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