• Attiré par la langue, la culture et pour vivre une expérience internationale, Manu Hernández, ancien étudiant de la UCH-CEU d’Elche, a commencé à travailler il y a deux ans comme kinésithérapeute en France.
  • Pour ce jeune homme originaire d’Alicante, la valeur différenciatrice dans son travail est la formation holistique qu’il a eue au CEU, dans la relation avec le patient, “ainsi que la persévérance dans la recherche de la possible cause de la pathologie”.

Manuel Hernandez Chica a  obtenu son diplôme de Kinésithérapie à l’Université CEU Cardenal Herrera d’Elche en 2018, et la même année, il est parti travailler en France. Depuis, ce jeune homme originaire d’Alicante, a exercé dans différents hôpitaux et cliniques privées. Ce n’est pas nouveau pour lui puisque durant ses études, il a effectué certains stages pratiques dans différents services, dans des villes françaises. Il travaille actuellement au  CRF de Montrodat, à Millau, “entouré de montagnes et de brebis, près du village où l’on fait le fromage Roquefort ». Il fait partie d’une équipe multidisciplinaire composée de médecins, de kinésithérapeutes, d’ergothérapeutes et d’orthophonistes.

Bien qu’il ait décidé d’aller travailler en France, sa ville natale lui manque.

Vous avez toujours voulu faire des études de kiné ou ce fut pour une autre raison ?

Ce fut une décision spontanée. J’ai toujours été attiré par la profession, mais ce n’était pas ma passion. J’ai commencé une double licence en Soins Infirmiers et Kinésithérapie, et j’ai fini par choisir la kinésithérapie parce ça représentait plus la vision que j’avais de la relation avec le patient et pour les possibilités que vous offrent ces études.

Pourquoi avez-vous décidé de faire vos études au CEU d’Elche ?

Parce que c’était la seule université qui proposait cette double licence et parce que j’avais eu de bons échos.

Comment se sont passés vos quatre ans à l’Université d’Elche ?

Très bien, je n’ai pas vu le temps passer. Je me suis intégré dès le début, les professeurs et mes camarades m’ont beaucoup aidé.

Qu’est-ce que vous retenez de vos études dans cette université ?

Ce que j’ai appris, sans aucun doute. Depuis que j’ai terminé mes études et que j’ai vu le reste des personnes qui ont fait les mêmes études que moi, j’ai compris que la formation reçue au CEU est très complète. Et surtout grâce à la conception holistique du patient, ainsi que la persévérance dans la recherche de la possible cause de la pathologie.

Manu Hernández durant la cérémonie de remise des diplômes, où il a été élu représentant de la promotion

Être kinésithérapeute en France

Où avez-vous fait vos stages pendant vos études ?

Durant les premières années, j’ai fait des stages volontaires dans deux cliniques à Alicante : à la clinique Silvia Martínez à Elche, et à la clinique GRAU d’ Alicante. L’année suivante, avant de terminer, j’ai décidé de tenter ma chance en France. J’y ai travaillé dans différents services : en pédiatrie à l’Hôpital Lenval de Nice, en musculosquelettique au CFR de Montrodat et à  la clinique Coudert-Ribes à Mende, en cardio-respiratoire au SSR d’Antrenas, en neurologie au centre de rééducation à Vallauris et en gériatrie à la clinique La Pagerie de Marseille.

Pourquoi pensez-vous que ce qu’on vous a enseigné au CEU vous est utile dans votre profession actuelle ?

Parce qu’on nous a aussi enseigné les valeurs qui nous servent pour la relation et la communication avec les patients.

Quels sont vos projets professionnels pour le futur ?

J’aimerais rentrer en Espagne le plus tôt possible car même si j’ai trouvé un travail stable, ma ville me manque, le climat… et surtout la famille et les amis.

Panorámica de las instalaciones del CRF de Montrodat

 

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